Hexago Metal
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Hexago Metal

Forum consacré au Métal français
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

 

 LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008)

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
HOUYOUX hervé
Admin
HOUYOUX hervé


Messages : 1716
Points : 2467
Date d'inscription : 14/06/2008
Age : 56
Localisation : WAZIERS (59)

LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008) Empty
MessageSujet: LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008)   LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008) Icon_minitimeDim 15 Juin - 11:57

4 ans qu'on l'attendait ce nouvel album, et le CD Promo de 2005 avait de quoi mettre l'eau à la bouche. Pas moins de 10 chansons pour plus de 45mn de Heavy Metal façon "Leather & Spike". Même si la musique de Lonewolf est reconnaissable entre 1000, ce nouvel album et une page qui se tourne, ou plutôt un pas de plus dans la quintessence Heavy Metal. Ce n'est plus JP Founrier qui s'occupe de la pochette, mais une jeune et talentueuse artiste Grecque (A. Demosthenous), et cette cover ne pouvait symboliser plus clairement le titre et l'ambiance de cet opus, c'est beau, propre, chaleureux et en même temps rempli d'une hargne et d'une force qui ne peut provenir que de l'enfer ! Un livret soigné avec des textes bien ecrits (mention spéciale à The New Inquisition, Utopia et Host of the Dark), on est loin des dragons, princesses et autres fééries, place au franc parler et à de sujets bien plus contemporains (quoi que certains sont indémodables...). Maintenant que les yeux en on pris pleins la gueule, place aux oreilles qui frétillent à l'idée d'écouter encore et encore ce Made in Hell.
A peine le CD est-il entré dans ma platine encore salivante qu'une ogive m'explose dans la tronche, c'est bien la sensation que l'on ressent avec la track d'ouverture ShadowLand, les loups sont pas là pour rigoler, à peine remis que le pré-refrain me fait frissonner de haut en pas, 2mn d'écoute, je n'ose imaginer quel spasme jouissif va m'envahir au bout des 45mn. Ceux qui on aimé Morbid Beauty adoreront ce morceau, la fin du morceau est composé de la même manière avec une harmonisation des guitares et de la basse qui rappelera sans aucun doute la 1ere chanson de "March...".
Divine Art of Lies, baisse de régime rythmiquement, on a à faire à un mid-tempo rapellant un savoureux mélange entre la scène NWOBHM et les pionniers teutons que sont Grave Digger & Running Wild. Le refrain et les choeurs (point de douce mélodie ici, les choeurs ils vous prennent par les couillent !) restent dans la tête, et on se surprend à chanter "Divine Art of Lies" dans son sommeil.
La chanson suivante est probablement la mieux chantée de l'album, voire la mieux chantée de la discographie du groupe. Le père Jens (où PapaWolf comme il est bon de l'apeler) a atteint la perfection pour mes oreilles, si on rajoute à cela des textes sublimes et une musique qui nous prends là ou il faut, je peux affirmer que ce "Host of the Dark" est l'une des meilleurs chansons de la galette.
Seawolf : dans la plus pure tradition française du Heavy Teutonique, pour simplifier c 'est du Lonewolf. Une chanson speed rapellant le meilleur de Running Wild, voire Helloween, LA chanson taillée pour le Live sans aucun doute, Headbang et Stage Diving en prime, ça y est les frissons réapparaissent...
On arrive à la moitié de l'album, je ne pensais pas que les loups ne pouvaient mieux me combler, mais avec ce Black Heaven, ils ont ecrit LA CHANSON DE L'ALBUM ! Au chiotte l'objectivité, une ambiance lourde et pesante s'installe, la voix rageuse de Jens est là pour accentuer cette atmosphère, les mn défilent et le Lead/Solo arrive, simple mais d'une efficacité redoutable, il y a des sensations qui ne s'expliquent pas et ce Black Heaven en est la preuve ! La fin du morceau rapellera sans doute à certains le début de Creeping Death d'un groupe ricain qui faisait de la bonne musique il y a quelques années.
Nous y voilà "Made in Hell", titre éponyme de l'album, un mid tempo hyper entraînant, encore une fois le chant de Jens nous amène avec lui comme si on avançait avec la chanson...Un rythmique des plus basique, mais accrocheuse, là encore ça sent le morceau pour le live, et je ne pense pas me tromper en disant qu'il deviendra un incontournable (comme l'est un Pagan Glory aujourd'hui).
Night Peace, la plus Maiden des chansons de Lonewolf selon moi, à ecouter sur des bonnes enceintes, rien que pour l'intro, pas d'inquiètudes si vous vous suprenez à Headbanger sans raison, c'est de toute façon obligatoire avec ce genre de chanson "epico-melodico-metal"
A peine les premières notes de la 8ième track, que je me souviens d'un jour de novembre 2005 où les loups avait joué ce "The Heart of Hell" en première partie de Nightmare devant un public conquis et déchaîné. Pour résumer, cette track c'est comme un rouleau compresseur en pleine gueule, mais on en redemande encore et encore. Ceux qui ont aimé le premier album devrait être ravi, ça déménage du début à la fin, et encore une fois les choeurs apportent vraiment quelque chose de plus !
Revenir en haut Aller en bas
http://metalworld.aforumfree.com/
Ronnie
Admin
Ronnie


Messages : 180
Points : 0
Date d'inscription : 31/05/2008
Age : 44
Localisation : Finistère

LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008) Empty
MessageSujet: Re: LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008)   LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008) Icon_minitimeDim 15 Juin - 14:02

Excellente chronique, bravo. Ca donne envie d'aller jeter un oeil.

Je me permets juste de la déplacer, car il me semble que Lonewolf a débuté dans les années 90.
Revenir en haut Aller en bas
https://hexagometal.frenchboard.com
 
LONEWOLF "Made in Hell" (Eat Metal/2008)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» BONESHAKER
» LONEWOLF
» HELL OF A RIDE
» HOT HELL ROOM
» HELL OF A RIDE

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hexago Metal :: Métal français post et pré-années 80 :: Chroniques d'albums-
Sauter vers: